Obiecte Zburatoare

C o n t e n u

2.1   Pourquoi la Terre est-elle vide a l'interior?
2.2   Pourquoi? - La surface interieur de la Terre est-elle illumine toujours par le soleil.
2.3   Arguments Scientifiques - Pourquoi? – L'axe de rotation de la Terre est-il incline et pourquoi, les jour alternent avec les nuits ainsi que les saison sur la surface interieure de la Terre, se succedent de maniere cyclique et a des intervales donnes.
2.4   Arguments scientifiques - Pourqui? - Les pôles magnétiques ne se trouvent pas sur l'axe de rotation de la Terre.
2.4.1   Pourquoi les corps sur la surface intérieur de la Terre ont le meme poids que les corps se trouvant sur la surface extérieure de la Terre.
2.4.2   Porqui au pôles, en fonction des saisons, sur les marges intérieures des orifices d'entrée de pres de 2000 Km de diametre, le climat est chaud et apparaissent egalement les nuits polaires.
2.4.3   Arguments scientifiques - Preuves de la Terre vide - par les preuves avec les vieilles notes.
2.4.4   Arguments scientifiques - Preuves de la Terre vide, des inscriptions et notes plus recentes.
2.4.5   Arguments scientifiques - La theorie de la Terre creuse (telle qu'elle a été mentionnée dans d'autres publications)
2.4.6   Autres arguments scientifiques - Portant sur la theorie de la terre creuse.
2.4.7   Arguments scientifiques - A travers des decouvertes geographiques -
2.4.8   Arguments scientifiques - par la carte de Piri Reis - .
2.4.9   Temoignages incommodes concernant la configuration reele de la Terre.
2.4.10   D'autres arguments scientifiques - Pourquoi l'axe de la Terre est inclinee par rapport du plan de son orbite eliptique avec 23 degres et 27 minutes.
2.4.11   Des Arguments scientifiques - Pourquoi l'aiguille de la boussole n'indique pas la position du nord geographique.
2.5   Arguments scientifiques - Pourqui a ete necessaire la construction de pyramides et longues tunnels souterains de centaines de milles de kilometres longueur
2.5.1   Arguments scientifiques - Le reseau souterain de tunnels du Perou et Ecuador
2.5.2   Arguments scientifiques - D'autres reseaux de tunnels et galerie similaires sur la Terre -
2.5.3   Arguments scientifiques - Les pyramides dans le monde et leur vrai but (recueil extrait d’autres publications - commentaire)
2.6   Arguments scientifiques - Pourquoi, jusqu'a present, on n'a pas pu apprendre d'ou decollent la plus part des OVNIS
2.7   Arguments scientifiques - Pourquoi les avions et les bateaux disparaissent dans le triangle des Bermudes et au Japon.
2.8   Arguments scientifiques - L'Atlantide engloutie?
2.9   Arguments scientifiques - Pourquoi sur la colline Magura Bacaului (Roumanie) - Les voitures montent seules

2.5.1 ARGUMENTS SCIENTIFIQUES – LE RESEAU SOUTERAIN DE TUNNELS DU PEROU ET ECUADOR

(Réception d’autres publications – commentaires)

Le continent sud-américain est traversé par un gigantesque réseau de galeries, d’un vrai labyrinthe long de quelques milliers de kilomètres, creusés profondément dans la terre. De celles-ci, seulement quelques centaines de kilomètres ont été explorées et mesurées, surtout au Pérou et Ecuador. Le découvreur des galeries, Juan Moricz, un chercheur prudent et très bon ami avec un groupe d’indiens péruviens, a fait connus les résultats de ses explorations à peine en 1969, après 3 ans d’étude dans la zone Morona-Santiago.

Dans toute cette période, il a réussi à collecter des objets remarquables et de parcourir plusieurs kilomètres de tunnels. L’accès dans les grottes qui s’étendent entre les villes Cualaquiza - St. Antonio – Yaupi n’est pas facile, les entrées étant cachées par les forêts.

Au long de ces galeries, creusées avec précision et qui forment naturellement des ongles droits, la boussole ne fonctionne pas.

COMMENTAIRE;

Le fait que la boussole ne fonctionne plus est une chose explicable et naturelle parce que toute pénétration d’une part à autre et la création d’un espace de communication par l’enlèvement de la matière entre la surface extérieure et la surface intérieure conduit logiquement à la création simultanée au long de la galerie respective de deux pôles magnétiques superposés, sous l’influence du puissant champ magnétique naturel de ces deux pôles magnétiques de la Terre.

D’ailleurs on connaît de la physique élémentaire qu’au moment où on divise un bout de fer avec des propriétés magnétiques naturelles, immédiatement dans la zone sectionnée apparaissent de nouveau deux autres pôles magnétiques, chaque bout étant divisé par un nouveau aimant avec deux pôles et cela ne fait que continuer.

De la même manière, en base de ce raisonnement il arrive la même chose quand on perfore et on interrompe par zone les champs magnétiques respectivement leurs lignes de force dans ces zones, la boussole ne pouvant plus indiquer en même temps dans le point respectif le nord et le sud à cause de la perturbation majeure des lignes de force du champ magnétique terrestre sur le tracée de la galerie respective.

Ce comportement de la boussole ne fait que confirmer encore un fait très réel, respectivement que la Terre n’est pas une sphère remplie comme évidemment on l’a cru jusqu’à présent et soutient aussi convaincant la théorie de la Terre vide à l’intérieur. Mais qu’on regarde ci-bas ce qu’on a écrit sur ce thème;

Les plans du labyrinthe souterrain ont été tracés avec le plus grand soin, comme prouvent les puits de sortie, aménagés aux intervalles réguliers, des brèches carrées et verticales dont les dimensions en section varient entre 1,80 et 3,10 mètres longueur et 0,80 mètres largeur.

Aux profondeurs les oiseaux ont fait des nids semblables avec les faucons, qui entrent et sortent tout le temps par les puits d’aération et qui meurent fréquemment dans les profondeurs du labyrinthe. Il existe des nombreuses salles, qui abritent divers objets, mais, entre toutes, l’une se distingue par le fait qu’elle abrite une véritable bibliothèque métallique, appartenant à une civilisation depuis longtemps révolue. Il s’agit de milles plaques et feuilles métalliques très fines, dont le format est en général de 96x48 cm.

Chaque plaque est couverte de signes réguliers, exécutés par une voiture.

            En se référant aux impressionnantes découvertes faites dans l’ouest du continent sud-américain, Erich von Daniken souligne dans son livre, "Le défi des dieux", (Erich von Daniken : Le défi des dieux, - Maison d’Edition Domino, Târgovişte, 1996) les suivants aspects : "Personne ne connaît qui a construit ces galeries et salles souterraines et ni qui ont été les sculpteurs qui ont taillé en pierre les personnages énigmatiques, avec des formes bizarres, mais il est possible que les constructeurs des galeries ne soient pas les mêmes avec les sculpteurs, parce que les salles et les galeries, très austères et vides, contrastent avec le style si chargé des statuettes représentant toutes sortes d’animaux : sauriens, éléphants, lions, jaguars, chameaux, ours, singes, bisons, loups, escargots, écrevisses, fait qui donne l’impression que les objets entassés dans des salles ne se trouvent pas à leur place.

Mais peut-être ces constructeurs ont montré l’œuvre à certains privilégiés et peut-être que ceux-ci ont taillé en pierre ce qu’ils avaient vu et entendu ; en entassant à fur et à mesure les œuvres dans ces souterrains."

COMMENTAIRE;

            De ce qu’on a précisé, on peut retenir que les tunnels respectifs ont une ancienneté très grande et au long du temps les civilisations qui ont suivi à d’autres civilisations ont commencé à comprendre leur vraie prédétermination et ont commencé à les utiliser comme nous aussi dans le futur proche, nous commencerons à déceler les mystères et la raison de construire ce genre de tunnels entre certaines zones ayant des concentrations de matière de densités différentes et d’une façon qui influencera naturellement les corps qui circulent par le tunnel de sorte que même si en réalité celles-ci descendent avec des pentes très grandes, les pentes ne soient pas saisies et n’influencent pas beaucoup, à cause de la résultante des forces d’attraction zonale conformément à la loi universelle d’attraction entre les deux corps des manuels de physique.

Le fait qu’au long du temps une certaine civilisation trouvée dans une difficulté imprévue qui les a surpris (catastrophe de grandes proportions) leur a permis de marquer leur existence dans le temps pour les générations à venir nous fait penser que la civilisation respective qui a écrit les plaquettes respectives et les a stockés sous la forme d’une véritable bibliothèque, avait atteint un stade de développement plus avancé que la civilisation contemporaine actuelle, qui d’après les récits hauts, n’a pas encore accordé l’attention convenue à ce vrai thésaurus de connaissances accumulées dans le temps après plusieurs recherches et accumulations de nouvelles connaissances concernant l’environnement humain.

Le prêtre Carlo Crespi de l’église Maria Auxiliadora, de Cuenca/Ecuador, a mis de coté beaucoup d’objets trouvés dans les souterrains, parmi lesquels se trouvait un cippe haut de 52 cm, longue de 14 cm et épaisse de 4 cm. Elle est partagée en 56 carrés, chacun représentant un caractère graphique différent, qui sont identiques avec les caractères utilisés sur les plaques et les feuilles de la bibliothèque métallique, ce qui signifie que son créateur disposait d’un certain alphabet, formé de 56 symboles. Le fait est d’autant plus digne de souligner, d’autant plus que jusqu’à présent on a affirmé que les civilisations sud-américaines ne connaissaient pas les écrits de type phonétique.

COMMENTAIRE;

     Les inscriptions et les messages légués par l’intermède de la bibliothèque métallique appartiennent à une civilisation plus ancienne qui connaissaient un système d’écriture et un alphabet.

Toujours dans les Alpes péruviennes, le capitaine espagnol Francisco Pizarro (1475-1541) a découvert en Huascaran, la montagne des Incas, à une altitude de 6768 mètres, des galeries souterraines, dont l’entrée était bloquée par de grandes pierres plates. Les Espagnols ont supposé qu’il s’agisse de dépôts d’aliments, de sorte que les recherches n’ont plus continué.

Celles-ci ont été reprises à peine en 1971, quand une expédition a pénétré sous la terre par une entrée située aux environs de la localité péruvienne Otuzco.

La revue allemande Bild der Wissenschaft, de 1971, a publié un article au sujet des résultats de l’expédition sous le title "Un autre secret des Incas".

"La montagne des Incas, Huscaranul (6763 mètres) s’élève majestueusement dans les Anzes péruviens. D’ici part l’ancien chemin des indigènes, qui mène sur les montagnes et les collines nordiques, se mêlant avec l’éboulis à une distance de 260 km, près de Otuzco. Dans cette zone ont été découvertes depuis le temps de Pizarro plusieurs entrées larges et carrelées avec des plaques en pierre dans les grottes. Elles étaient utilisées comme des caves. Les chercheurs se sont souvenus de ces caves des Incas et y ont pénétré en utilisant les plus modernes moyens de la technique : poulies, électro -câbles, lampes de mine et tubes d’oxygène. Au bout des grottes, assis sur plusieurs niveaux, ils ont découvert des portes des plaques de pierre qui, en dépit de leur poids énorme (elles ont 8 m hauteur, 5 m largeur et 2,5 m grosseur), pouvaient être bougées sur des roues en pierre ; qui tournaient dans un endroit mouillé d’eau, au moment où quatre hommes puissants les faisaient bouger. Cet endroit se trouvait à 62 mètres sous les pieds de la montagne.

COMMENTAIRE

L’emplacement en profondeur de ces entrées dans les longues galeries souterraines a été effectué dans le but de la diminution des effets perturbateurs causés par le „déchirage” des lignes de force du champ magnétique terrestre. D’ailleurs les immenses portes en Pierre n’ont pas été construites au hasard et avec beaucoup de peine, elles ayant un rôle très bien établis et justifié comme investissement et en aucun cas la construction de ces portes ne peut être attribuée à la population de surface c’est à dire les Incas.

            En faisant des fouilles, au cas où il résulterait que la construction de ces portes daterait depuis les Incas, alors leur construction peut plutôt être attribuée à la civilisation se trouvant sur la surface intérieure de la Terre qui a fait usage en ce temps là de la technologie nécessaire au déplacement de ces blocs en pierre qu’ils transformeront dans des mécanismes de clôture des entrées qui continue à nous émerveiller aussi à présent.

Ce qui suit représente une immense surprise : derrière les six portes commencent des tunnels immenses, qui rendent même aujourd’hui jaloux les techniciens d’aujourd’hui. Ces tunnels qui ont parfois une pente de jusqu’à 14% conduisent obliquement vers la côte.

COMMENTAIRE;

      Affirmer que ces tunnels ont été construits par des hommes qui maîtrisaient à peine l’arc avec les flèches étant préoccupés par leur vie simple, c’est une grave erreur des hommes de science contemporains et en général de tous ceux qui croient dans l’origine de l’homme regardé par la conception Darwiniste.

Le plancher est de plaques en pierre granulées ou striées ; qui ne glisse pas. Si aujourd’hui tu trouves que c’est une aventure de parcourir les 90-105 km du tunnel, imagine la difficulté au XIVème ou XVème, avec quelle difficulté ont transporté les aborigènes leurs biens dans ces endroits sous les montagnes des Andes pour les soustraire aux attaques de Pizarro et du vice-roi espagnol !

COMMENTAIRE;

Par rapport à ce qu’on a dit plus haut, continuer à croire que pour un dépôt d’aliments il est nécessaire une longueur d’environ 100 kilomètres et avec des planchers en pierre striée ou granulée, c’est une grande absurdité qui manque de toute logique élémentaire parce qu’en réalité comme on pourrait constater par une recherche scientifique et compétente sur place, les tunnels respectifs sont en réalité des voies de communications directes entre les deux surfaces habitables et illuminées du même soleil de la Terre.

Au bout des galeries souterraines de Guanape, (nommées ainsi d’après l’île qui se trouve en face de la côte du Pérou) on suppose qu’elles assuraient la liaison sous la mer avec l’île respective se trouve l’Océan Pacifique.

Dans la lumière des lampadaires la pente descendante finit au bout d’une lame noire comme la poix : c’est la mer. D’ici part dans le souterrain, la côte d’aujourd’hui. La recherche d’un corridor sur l’île Guanape est inutile. Rien n’atteste qu’auparavant il a existé quelque part un tunnel entre le sol et l’île. Personne ne sait où finissent ces couloirs souterrains des Incas et s’ils ouvrent le chemin vers des chambres pleines de trésors d’un monde depuis longtemps révolu.

COMMENTAIRE;

De ce qu’on a dit plus haut, il résulte que la prédétermination et le but de la construction des tunnels n’était pas la satisfaction des besoins des Incas afin de les utiliser comme dépôts des biens, mais au contraire, ils ont joué à l’époque un rôle plus important et bien défini qui a justifié pleinement l’effort matériel et humain qui a été fait, en liant ainsi la population de la surface extérieure de la Terre avec la population de la surface intérieure de la Terre avec les conditions climatiques et l’atmosphère presque pareille. On a ressenti le besoin de faire des échanges dans tous les sens et directions comme dans le futur proche on commencera nous aussi avec „eux” à faire des échanges cycliquement et seulement par la volonté de Dieu.

Il est très logique et naturel qu’après la construction des tunnels et des galeries d’ancienneté, les populations de la surface de la terre qui ont découvert par hasard ces véritables galeries cachées et déjà construites les utilisent comme des dépôts contre les envahisseurs mais cela représente un autre problème.

Sur l’apparition de cet article, le colonel Omar Chioino, le directeur du Musée National de l’Armée de l’Air du Pérou a affirmé : „Je suis très surpris comment a pu se glisser cette information par la censure générale. D’habitude, on mentionne seulement le nom de la montagne, et non le lieu d’entrée et ni le nom des chercheurs ou de l’équipe ”.

Les tunnels sont attribués aux Incas, bien qu’il n’existe pas des similitudes avec les constructions des Incas connus jusqu’au présent. Les Incas n’étaient pas en mesure de les tailler, car ils manquaient des outils nécessaires. Les Incas ont connu ces systèmes souterrains et ils les ont utilisés partiellement, cela est évident.

COMMENTAIRE;

Le manque des similitudes avec les constructions des Incas est plus qu’édificateur et nul doute les constructions respectives ne peuvent pas être attribuées aux Incas parce qu’il n’existe aucune motivation logique entre autres.

Les entrées dans ce système gigantesque des tunnels d’Andes ont été identifiées dans toute l’Amérique Centrale et en Amérique du sud et au Chili jusqu’en Argentine. Les chambres voûtées, taillées avec art en pierre, véritable labyrinthe ramifié dans toutes les directions, sont connues au Pérou sous le nom de „chicanas”. Dans les divers pays où on les retrouve, d’habitude, les officiers des pays respectifs les ont examinés, mais un échange d’informations au sujet des résultats obtenus n’a eu lieu ni même pour les services secrets.

 

Il est évident que ce réseau souterrain, qui dépasse les constructions modernes des métros, est l’œuvre d’une civilisation inconnue, des habitants de ce continent, qui a été peuplé bien avant les Incas et Pré-Incas. Il s’agit de centaines de kilomètres parsemés au souterrain, des rues larges, dont le but nous est totalement inconnu. Partiellement ils étaient ébranlés par les tremblements de terre et, aujourd’hui soit ils sont bloqués, soit ils finissent sous le niveau de la mer”.

COMMENTAIRE;

Par rapport à ce qu’on a mentionné plus haut, il est évident qu’une recherche coordonnée au niveau mondial est plus que nécessaire et je me presse de mentionner que les résultats spectaculaires ne tarderont pas d’apparaître dès les premières recherches faites sur place.

L’élucidation complète de ces grandes énigmes déterminera un saut très grand pour l’homme afin de se connaître et de connaître le vrai et réel environnement sur la Terre toute entière, - respectivement avec les deux surfaces habitables. Sur la grande surface intérieure illuminée par le même Soleil et habitable avec des conditions de climat et mode de vie semblable, avec des forêts, flore et faune, avec des montagnes, plaines, lacs, mers et océans pour l’instant nous ne connaissons pas beaucoup, au stade de développement et de connaissance atteint par nous, - à présent.

De cette manière on pourra progresser d’une façon importante en bénéficiant, en accumulant et en assimilant presque gratuitement les connaissances, - en évoluant rapidement dans la connaissance-, par le traitement des données, faits, procédés, méthodes, etc. de nos précurseurs qui nous ont légué cet héritage de nature culturelle et scientifique, héritage matériel très valeureux et important, etc.

Mais qu’on voit ce qu’on a écrit sur ce thème ci-bas;

Autour de l’année 1570, le chroniqueur espagnol Padre Cristobal de Molina s’est montré intéressé par les galeries souterraines et de leur sens. Dans son travail Ritos y fabulos de 1os Incas, achevée en 1572, Molina raconte que le Père de l’Humanité se serait retiré dans une souterraine après avoir accompli son œuvre, c’est à dire après la création. Cet endroit secret est devenu le lieu de naissance de nombreux peuples, qui ont fait leur apparition comme „de la nuit éternelle”. Molina nous fait savoir le fait que ces galeries et salles souterraines auraient servi, au long des siècles, comme abri pour les richesses des peuples, quand ceux-ci se sentaient menacés. Une loi stricte punissait avec la mort celui qui faisait l’imprudence de parler de ces souterrains en dehors du cercle restreint des initiés.

      COMMENTAIRE

On peut se rendre compte relativement facile du mode „primitive” utilisé par les chroniqueurs de mentionner certains aspects et états qui dépassaient leur pouvoir de compréhension, compréhension limitée à cause principalement du stade limité de développement atteint en ce temps là.

Dans les souterrains de Pérou et Ecuador on retrouve au moins trois catégories d’objets :

      1) l’héritage de ceux qui ont été les constructeurs de ces fabuleux réseaux de galeries souterraines;

      2) pierres taillées et sculptées, les œuvres des premiers hommes intelligents qui, probablement, ont été les élèves des constructeurs de tunnels ;

      3) les objets d’or et d’argent des Incas, entassés dans les souterrains après l’année 1532, pour prévenir les attaques subies d’une façon permanente par les conquistadors.

L’archéologue péruvien Italo Olberti a découvert en 1972, en collaboration avec un groupe de chercheurs polonais, proche de Sacsayhuaman, un tunnel qui menait de la cité jusque dans la ville Cuzco, en confirmant l’existence d’un réseau entier des chemins souterrain, parmi lesquels d’un tunnel avec cents portes, nommé ainsi à cause des dizaines de portes mégalithiques trapézoïdales parsemées partout. Il est intéressant que les efforts déposés pour pénétrer les tunnels, si précis de point de vue géométrique, n’ont pas eu comme finalité ni la réalisation de catacombes funéraire, ni des autels de sacrifice, ni des lieux de dépôts des objets d’or et d’argent et ni d’une „bibliothèque” des feuilles bizarres en métal de 96x48 cm2, gardé par le prêtre Carlo Crespi de Cuence et étant considérés comme un recueil unique.

Bien que les réseaux de tunnels souterrains de l’Amérique de Sud soient les plus impressionnants et les plus connus sur le plan international, elles ne sont pas les seuls de ce type. Les systèmes complexes de galeries souterraines ont été découvertes tant en Amérique de Nord, qu’en Asie.

COMMENTAIRE

Le fait que jusqu’à présent on n’a pas compris la logique de ces grands investissements qui sont causé par le manque du calcul que la Terre a encore en réalité une surface intérieure très grande et illuminée par le même Soleil comme on l’a mentionné plus haut, dans les chapitres antérieurs.

Par rapport aux affirmations faites, j’apprécie d’avance que beaucoup de choses seront clarifiées parce qu’une petite partie de grandes énigmes de la contemporanéité cesseront de „fonctionner” comme de „grandes énigmes” grâce à mes affirmations, - avec la mention que j’ai tenu compte en permanence de ne pas mettre sur le papier les aspects qui dépassent la compréhension des lois des manuels de Physique connues jusqu’au présent.

Quand on comprendra l’explication de ces états par des différents moyens d’information directement par moi et indirectement par d’autres moyens et respectivement d’autres sources d’information correcte et réelle en liaison avec les vrais états de l’environnement, alors je pense que, - à la fin on découvrira la vérité – dans le sens que le publique apprendra d’autres informations et connaissances gardées en secret étant conscients que tout cela nous retard dans la vérité, en agissant comme des freins dans le développement et connaissance sur tous les plans.